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Le circuit du phare du Créac'h

C'est le circuit de la côte redoutable, où les navires, emmurés dans les brumes, se brisaient par dizaines sur les récifs, avant la construction des phares.

Difficulté
0 1 2 3

2 h 50

8,50 km

DépartOuessant

ArrivéeOuessant

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Le circuit du phare du Créac'h

2 h 50

8,50 km

DépartOuessant

ArrivéeOuessant

1
Marcher 150 m en direction du phare du Créac’h puis prendre la route sur 150 m, à gauche d’un petit mur. Longer la côte sur un chemin de terre. Au milieu de la baie, la grand’roche (Youc’h Korz) est un brise lame naturel lors des grandes tempêtes de suroît. Après environ 2 km de marche, on atteint le port de Bouguézen équipé de treuils servant, en hiver, à remonter à terre les bateaux.
Un peu plus loin, le fort de Loqueltas, construit sous le second Empire, contribuait à la défense de l’île. Il en existe un semblable à Kernic.
2
Continuer en longeant la côte découpée jusqu’à la pointe de Pern site classé.
Le phare de Nividic assurait les fonctions de sirène et de corne de brume. Les pylônes « Kerzu » et « Koncu » bétonnés dans la roche portaient des câbles. Ils reliaient le phare à la terre. Jusqu’en 1973, s’élevaient ici les hangars abritant la machinerie du téléphérique.
3
Contourner la pointe pour se diriger jusqu’aux ruines de l’ancienne corne de brume. Rejoindre le phare du Créac’h musée des Phares et Balises.
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Descriptif

1
Marcher 150 m en direction du phare du Créac’h puis prendre la route sur 150 m, à gauche d’un petit mur. Longer la côte sur un chemin de terre. Au milieu de la baie, la grand’roche (Youc’h Korz) est un brise lame naturel lors des grandes tempêtes de suroît. Après environ 2 km de marche, on atteint le port de Bouguézen équipé de treuils servant, en hiver, à remonter à terre les bateaux.
Un peu plus loin, le fort de Loqueltas, construit sous le second Empire, contribuait à la défense de l’île. Il en existe un semblable à Kernic.
2
Continuer en longeant la côte découpée jusqu’à la pointe de Pern site classé.
Le phare de Nividic assurait les fonctions de sirène et de corne de brume. Les pylônes « Kerzu » et « Koncu » bétonnés dans la roche portaient des câbles. Ils reliaient le phare à la terre. Jusqu’en 1973, s’élevaient ici les hangars abritant la machinerie du téléphérique.
3
Contourner la pointe pour se diriger jusqu’aux ruines de l’ancienne corne de brume. Rejoindre le phare du Créac’h musée des Phares et Balises.
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